Sonnet – Morbide
La mort se prépare, elle ne préviendra pas
L’orgueil se manifeste toujours du vivant
La mort ne peut m’appartenir, elle s’offrira
Nul sera besoin de spéculer, elle vaincra
Ce moment viendra, la vie conditionnera
Il ne sera pas nécessaire d’insister
Le contexte s’y prête déjà, exigu
La fin n’est ni réfléchie, ni plus fatale
La mort s’invite quand on ne s’y attend pas
Je m’y prépare, sauf concernant le geste
Mouvement y conduisant, nulle prescription
Le mystère est le geste qui y conduit
Apre cheminement, la surprise conclue
La mort sont ces bras du sort qui vous embrassent
Le 6 juillet 2025, Vincent ROOS.
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