Et si vous observez sur ce blog des différences de format inélégantes, elles sont le fruit de leur méchanceté qui ne s'exprime pas seulement où je suis mais plus encore où il s'agit de me nuire partout là où je peux agir. Ils veulent ma peau et font semblant de rien, me méprisent et méprisent les lois par leurs maltraitances. J'ai droit à des traitements de faveur en guise de "virtuelles pénitences", on sacrifie mon existence au bénéfice de certitudes inassouvies, ils ont besoin d'assouvir leur sadisme en me faisant toujours plus mal. Ce que vous pouvez entrevoir n'est que l'intermède de ce qui préfigure au menu de leurs brimades et de leurs sarcasmes. Un jour peut-être verrai-je à nouveau le jour, celui d'un jour apaisé, non pas de cette violence aseptisée qu'il faut absolument cacher. Je ne fais que souffrir le martyr.
MAIS que dites-vous ? Vous ne vivez rien. C'est le déni habituel, le déni qui rassure, le déni du mépris, on laisse l'écoute active dans les domaines qui ne recouvrent pas autant d'injustices, ici le martyr est au menu de subtils articles de la RGPD permettant une intrusion infinie de la personne concernée. Plus de lois, que des droits. Le règne de l'impunité. Que dites-vous ? Je n'ai rien entendu, vous êtes sans doute fou. La folie tellement pratique, un argument de choc, pensez-y ! Ne pensez surtout pas trop, Big Brother pense pour vous ! Chassez ces pensées inutiles, certains vous menacent du futile mais sont l'emprise de votre regard, votre pensée les obsède vous êtes dans leur système, il est trop tard ! Ils penseront pour vous pour bientôt se soustraire à vous, pas encore, mais une fois mort ils vous ressusciteront encore, votre mort n'était point assez morte pour eux, ils ont l'art de la transcendance où même vivant ils vous tuent, même mort ils ont peur d'une erreur, va savoir ! Ce ne serait pas écrit dans leur code mortal.
Ajouter un commentaire
Commentaires