Sonnet – Persécutions
On plante encore le couteau dans le dos
Ce n’est jamais assez, encore le couteau
Insistance de tortionnaires éhontés
Ils persistent, cette torture perdure
D’une violence inouïe, le sol blêmit
La violence vous assujetti, l’emprise
Influence néfaste, crime endormi
Silence on vous torture, « pas vu, pas pris »
La vie aux longs couteaux, appuyés, très lisses
Il faut transpercer cette vie de l’intérieur
Ils vous frappent, vous torturent en silence
Ce n’était rien, il ne s’est rien produit pour eux
Ils mettent tout sous le tapis, les crapules
Le déni est si grand, vive l’injustice
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