Sonnet – Un dimanche matin à Strasbourg
Il est presque 7 heures du matin serein
Le soleil s’étend doucement sur la ville
Et je n’ai pas eu d’heure pour pouvoir dormir
La matinée élève son petit air frais
Strasbourg s’éveille lentement d’un pas joyeux
Prestement des personnes défilent chargées
D’une bruyante valise à roulettes
Depuis la gare point de départ d’un regard
Une effluve de vent souffle sur la rue
Rafraichissante destinée privilégiée
On goûte à l’alizée, Zéphyr enchanté
Les services municipaux déploient leur art
On entend le tramway grincer des rails rouillés
Le bleu du ciel continu à nous éclairer
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