Sonnet sur l’attente
Que le temps semble long à prendre patience
Il fait si beau dehors, le mercure bien haut
A un point que l’on ne puisse se détendre
C’est une sagesse de savoir attendre
Et donc connaitre le pourquoi qui donne sens
Questionnement qui comprend l’essence même
Une perspective donnant l’orientation
Elle se pense pour ne pas ressembler au rien
Attendre c’est comprendre car dénué du rien
Non attendre dans un vide qui s’étire
Connaitre l’ennui sortant d’une attente
L’ennui est une attente angoissante
Nulle complaisance, un rien qui perdure
Mortifère néant, l’altérité s’espère
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